Les lumières du crépuscule || Free*

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Le bus roulait à une allure régulière sur la route détrempée et sinueuse qui menait au Haras des Pinèdes. Le chauffeur, un homme gras, au visage marqué de rides et aux cheveux grisonnant fixait inlassablement le chemin semé d'embûches - de nids de poules - bordée par un ravin qui n'attendait que qu'un véhicule négocie mal un des nombreux virages et tombe dans le précipice. Les phares du car illuminait les fines gouttes de pluie, que le vent prenait soin de rabattre sur les vitres du bus, les écrasant dans un son régulier et agaçant. De sombres voiles masquaient la pleine lune, dont la lumière argentée ne parvenait pas à peindre les arbres et les rares bâtiments. La radio du véhicule avait lâchée en route, au grand damne des quelques passagers qui n'avaient alors rien d'autre pour se distraire. Par moment, le chauffeur poussait la chansonnette, mais s'arrêtait rapidement dès les premiers soupirs exaspérés de ses clients. Alors il se concentrait derechef sur le macadam de la route, qui paraissait à présent interminable.

Les passagers étaient peu nombreux. Il y avait une jeune fille, au visage rieur, qui plongeait régulièrement sa main dans sa poche et en ressortait une sucrerie. Elle était accompagnée d'une dame - sa mère ? - qui scrutait l'extérieur par la fenêtre la plus proche. Au fond, il y avait un homme d'un âge plus avancé, encore plus que le chauffeur. Il affichait toujours un étrange sourire en coin, même dans le sommeil dans lequel il se trouvait. Plus vers le milieu, un jeune homme - beau - d'une vingtaine d'année adressait des clins d'œil pervers à la dernière passagère, qui n'y prêtait pas attention. Cet dernière passagère n'était autre qu'Isabella Swan, qui préférait être simplement appelée Bella. Lorsqu'elle se rendit enfin compte qu'un homme la jaugeait d'une façon fors déplaisante à son égard, le sang lui monta aux joues. Elle tourna vivement la tête, rivant les yeux sur le précipice menaçant. Le bus freina dans un crissement de pneus.
-- Haras des Pinèdes ! annonçait la voix rauque du conducteur.
Bella se leva péniblement, encombra ses frêles épaules de son vieux sac de lycéenne, remplit de vêtements et d'affaires de toilettes, pour l'occasion. Elle s'engagea dans l'allée glissante du bus, manquant à plusieurs reprises de s'étaler de tout son long. Elle arriva enfin - et en un morceau - à la hauteur du chauffeur.
-- Faites attention, conseilla celui-ci, v'la un bon grain qui tombe.
En effet, la pluie avait redoublée, se transformant presque en averse. Pour le rassurer, Bella lui offrit son rictus le plus convaincant.

Une fois sortit, le car démarra dans un nouveau crissement de pneus. Lorsqu'il fut disparut du champs de vision de l'adolescente, celle-ci resserra les pans de son coupe-vent autour de son corps et se dirigea d'un pas incertain vers l'entrée du haras. Son cheval, Midnight, l'avait déjà précédé, en arrivant la veille. Il devait déjà être bien au chaud dans son box, lui. De toute manière, Bella n'avait nullement envie de le voir. Tout ce qu'elle voulait, c'était retourner chez elle, en Arizona. Elle détestait déjà son nouveau lieu de vie. Elle haïssait la pluie. Et par dessus tout, pour rien au monde, elle ne voulait remonter à cheval.

Il faisait bon le matin. Il y avait du soleil le matin. Malheureusement le temps change. Oui, Edward c'était levé de bonne heure. Vers huit heures trente minutes. Il n'avait pas bien dormis car un chien déchaîné avait aboyé toute la nuit. Il était le seul à ne pas avoir bien dormi pour la seule et unique raison, que c'était le seul et l'unique habitant de cette, oh non, sa villa. Donc, résultat, il s'était levé et était descendu au salon.

L'eau de la douche coulait depuis plus de vingts minutes maintenant. Il devait peut-être songer à sortir si il voulait aller voir Diamond, son étalon. Cela faisait un moment qu'il ne l'avait pas monté alors, il avait décidé de le monter aujourd'hui. Alors, il coupa l'eau et s'enveloppa dans une serviette, grande, blanche. Ensuite, il sortit et alla devant le miroir. Ses chevaux mouillé lui donnait un air de garçon malheureux. Alors, il se dépêcha de les sécher. Ensuite, il enfila son vieux jean et un tee shirt. Puis, il descendit en bas.

Le voilà, dehors, prêt des écuries, de plus en plus prêt de son cheval. Il était chaussé de ses bons vieux bottillons. Il avait un sweat. C'est tout, rien de plus. Il arriva enfin à l'écurie et remarqua que son cheval était prêt. Il se demandait quoi et donc, alla voir le palefrenier qui s'occupait de lui.

« Pourquoi mon cheval est-il prêt ? »
« Parce que vous ne l'avait pas monté ces derniers temps et j'allais le faire ! »
« Non mais vous vous prenez pour qui ? C'est mon cheval ! J'étais malade, voilà pourquoi je ne suis pas venu. Je vous avez pourtant bien dit de ne jamais le monter. Vous êtes viré ! »
« Mais … »
« DEHORS ! »

Le palefrenier s'en alla. Il se retrouva donc face à son cheval qui hennit légèrement en le voyant. Alors, Edward alla le caresser. Maintenant le haras se trouvait sans palefrenier. Tant pis, il allait devoir faire le travail en plus de celui de débourreur et éleveur. Il prit donc les rênes de son cheval et sortit. Il régla ses étriers et grimpa sur le dos de Diamond qui semblait heureux d'être monté. Il prit les rênes et le dirigea vers le parc. Il avait la pêche mais il savait contrôler son cheval. Il venait d'arriver au parc quand il remarqua une jeune fille. Elle semblait jolie. Alors, il s'approcha de celle-ci. Sa première impression se confirma; elle l'était !

« Salut ! Bienvenue au Haras. Je suis Edward Mattiew Cullen. La directrice est occupée pour l'instant. »

Il sourit à la jeune fille et Diamond resta immobile.

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Les goutes de pluies s'écrasaient sur la surface de la rivière du parc. Bella balança rageusement son sac contre le tronc ridé d'un chêne, dont les branches étaient dénudées de feuilles. Elle s'affaissa sur un banc en bois verni, s'intima de fermer les yeux et de se laisser submerger par le sommeil qui creusait ses cernes, mais elle ne parvint pas à tomber dans les bras de Morphée. Seul point positif ; l'averse avait faiblit en intensité, se réduisant à une fine pluie. Un jeune homme en vêtement de travail marchait d'un pas rageur vers le portail. Il pestait. L'adolescente se dévissa le cou pour mieux le jauger. Il avait une chevelure platine, dont les mèches folles retombaient sur son regard émeraude. Il avait le teint légèrement bronzé, ce qui faisait contraste avec ses cheveux. Les traits de son visage semblaient durs, quelque chose devait le contrarier. Bella réussit à entendre quelques bouts de ses paroles. Fichu haras... même pas capable de s'occuper de son cheval... me fait nouveau viré... retourner à la rue... sa pimbêche de mère... mais... Elle sursauta, il avait remarqué sa présence.
-- Hey ! Qu'est-ce qu'une beauté comme vous fait dans ce trou pommé ? s'exclama-t-il.
-- Je me le demande... souffla Bella en rougissant.
-- Ça vous dirais si on passait faire un tour chez moi ?
-- Non merci.
Elle se leva d'un bon, attrapa son sac et se dirigea vers les bâtiments, consciente du regard pervers que l'inconnu avait posé sur elle. Elle soupira. Comment faisait-elle pour toujours attirer les ennuis... et les mauvaises personnes ?

Le soleil montait doucement à son zénith. Bella s'était calmée. Elle retourna dans le parc, en s'assurant toute fois que le jeune homme n'y était plus. La tristesse avait reprit le dessus sur la colère. Un coup de vent plus fort que les autres lui cingla le visage, mais il n'y prêta pas attention.
-- Salut ! Bienvenue au Haras. Je suis Edward Mattiew Cullen. La directrice est occupée pour l'instant.
L'adolescente sursauta, et se retourna vivement en direction de la voix. L'accent mielleux de se dénommé Edward déclenchait en elle des réactions encore inconnues. Elle se contentait de le dévisager, l'air hébété.

La jeune fille était là, parterre, assise. Elle semblait être en colère, mais une lueur de tristesse se faisait voir sur son visage. Edward lui sourit. Elle n'avait encore dit aucuns mots. Aucuns sons n'étaient sortis de sa bouche. Diamond semblait calme alors, il jugea bon de descendre. Il avait hésité à dire qu'il était le fils adoptif de la directrice mais ce dit que la jeune fille finirait bien par le découvrir. Ou alors, elle lui demanderait plus d'informations sur lui. Il déchaussa donc ses étriers et mit pied à terre. Diamond tourna sa tête vers lui comme pour lui demander ce qu'il faisait, étant donné qu'il pensait partir travailler ou promener. Il regarda le cheval, puis le caressa. Il porta son regard vers le bâtiment imposant qui se trouvait derrière eux. Il n'était autre que le bâtiment principal contenant, le bureau de la directrice. Alors, il sourit légèrement. Il attendait une quelconque réaction de la part de la jeune fille. Il plongea son regard dans le sien et cette action lui procura une sensation bizarre, qu'il n'avait pas ressentis depuis pas mal de temps, mais, il jugea bon de faire comme si de rien n'était. Puis, il demanda à la jeune fille :

« Au fait, tu n'aurais pas vu un mec passer ? »

Il attendait une réponse. Car rester là sans rien dire, ce n'était pas tellement super. Ensuite, il alla prêt de son étalon et le caressa.

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Bella baissa le regard, scrutant les brins d'herbes perlés d'humidité. Le côté droit de son jeans gris était en partie maculé d'un mélange de terre et de sable, trace d'une de ses nombreuses précédentes chutes. Elle posa ses longs doigts fins sur le sol pour y prendre appui, puis se releva sans aucune grâce manquant même d'être déséquilibrée. Heureusement, il fût plus rapide qu'elle, attrapa son avant-bras afin qu'elle ne tombe pas. Sa poigne était incroyablement douce, mais ferme, et l'adolescente ne sût pas comment réagir. Devait-elle le remercier, ou bien faire comme si de rien n'était ? Pour toute réponse, elle rougissait.

-- Merci... Oui, un grand blond, la vingtaine, souffla-t-elle.
Des frissons lui parcourent l'échine lorsqu'elle se remémora la tentative de séduction de l'inconnue. La façon de Bella de l'éconduire l'avait peut-être laissé sur sa faim. Pour la première fois, elle plongea son regard dans ses yeux. Elle se perdit dans les topazes de ses iris, transportée dans son monde. Il était si parfait. Sa peau d'albâtre, encore plus blafarde que celle de Bella, faisait merveilleusement contraste avec les reflets cuivres de ses cheveux châtains. Son tee-shirt se tendait sur son torse musclé, bien dessiné, comme le reste de son corps. Mais dans cette image même de la perfection, le plus impressionnant, c'était ses yeux.

La jeune fille posa son regard sur le parterre. Le sol. Terre et herbe. Voilà en quoi était fait, si je puis dire, ce sol. Un sol légèrement trempé après la légère pluie tombée quelques minutes auparavant. Ensuite, elle prit appui et tenta de se relever mais fut vite déséquilibrée. Alors, Ed' n'hésita pas et empoigna son avant-bras afin de l'empêcher de tomber, de s'étaler. Il fit ce geste avec une poigne douce mais ferme. Et oui, c'est bien comme ça que notre beau jeune homme était. Enfin, pas toujours. Lorsqu'il est bien énervé, sa poigne n'est plus du tout douce. Alors, il répondit à la remarque de la jeune fille :

« Oui, c'est ça. Ah, j'espère qu'il ne t'as pas embêter. Car je venais juste de le renvoyer ce con. Soit, il ne t'as pas touchée ? »

Ce mec aurait touché la jeune fille, il se serait occupé personnellement de son cas. Il ne savait pas encore pourquoi, mais il sentait qu'il ne supporterais pas que quelqu'un s'approche d'elle. Il s'en rendit compte à la fin de sa phrase mais ne fit rien. Non, car elle venait de planter son regard dans les yeux topazes d'Ed. Il regarda les yeux de la jeune fille, puis son nez et sa bouche. Sa peau est, blafarde mais pas autant que celle d'Edward. Tout les deux, ils se ressemblaient un peu. Puis, Diamond le ramena à la réalité en s'ébrouant. Puis, il se souvint d'une chose. Comment cette mystérieuse mais belle, jeune fille s'appelait-elle ?

« Au fait, tu ne m'as pas dit ton nom. »

Il lui nourrit. Puis il la regarda de nouveau … Attiré ? Peut-être.

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Bella, subjuguée par la beauté inconditionnelle de l'homme qui se trouvait en face d'elle, ne put détacher son attention de lui. Sans sans rendre compte, ses mains commencèrent à trembler, et elle les cacha derrière son dos. Elle rougit derechef.
-- Non, non, mentit-elle, je pense qu'il ne m'a même pas remarqué.
Elle s'en voulut immédiatement de lui avoir mentit, mais masqua son malaise en détournant son regard de ses iris. Elle se mordit la lèvre inférieure. Un mensonge sans importance...
-- Bella, lâcha-t-elle sur un ton amer, plus qu'elle ne l'aurait souhaité.
Edward la fixait avec un petit sourire, à peine perceptible pour l'adolescente. Elle jurait qu'il se moquait d'elle. Pour qui se prenait-il ?

La pâleur du soleil d'hiver ne parvenait pas à réchauffer Bella, dont les vêtements détrempés lui collaient à la peau. Elle frissonnait. Et la présence du bel Edward n'arrangeait pas les choses. Lorsqu'il la scrutait, d'un regard bienveillant et protecteur, elle en oubliait de respirer, et était prise de vertige. Heureusement, le fraicheur de la saison la ramenait vite à la réalité. Aussi acide soit-elle. L'astre solaire avait déjà grimpé jusqu'à son zénith.
-- Bon Dieu, mais depuis combien de temps suis-je ici... murmura-t-elle à elle-même, sur un ton à peine perceptible.

La jeune fille lui assure que non. Alors, il décida de ne pas chercher plus loin. D'un autre côté, il se réjouissait de cette réponse positive car si celle-ci avait été négative, il ne sait pas vraiment comment il aurait réagit. Alors, il fixa de nouveau la jeune fille dans ses yeux sombres. Il n'aurait pas su dire de quelle couleur ils étaient. Mais, ça, il s'en fichait. Il trouvait qu'elle était vraiment mignonne et lui ressemblait un peu. Bella. C'était son prénom. Un prénom qu'il savait non d'origine. Alors, il lui dit.

« Enchanté Bella. Si je ne me trompe ton nom complet est Isabella Swan, n'est-ce pas ? Ton cheval est arrivé hier et je m'en suis occupé. J'espère que tu ne m'en voudras pas. »

Ensuite, elle murmura quelque chose mais il ne comprit pas ce que c'était. Alors, il décida d'ignorer ce qu'elle venait d'avoir dit. Il se reconcentra sur la jeune fille puis son étalon le poussa du bout de sa tête et le poussa vers Bella. Il se retrouva si prêt d'elle, il sentit son parfum, entendit son souffle, puis il s'excusa auprès de la jeune fille :

« Excuse moi Bella mais il est souvent jaloux. Je te présente Diamond, mon cheval. Bref, on est pas là pour parler de lui. Tu veux aller où ? », dit-il tout en souriant.

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Bella releva les yeux, le bel Edward avait replongé son regard dans celui de la jeune fille. Elle fit de même mais sentit rapidement ses joues rougir sous sa timiditée. Elle passa sa main sur sa joue droite, elle était brulante malgré la pluie qui tombait encore légerement. L'étalon nommé Diamond s'impatienta et poussa le jeune homme vers la jeune fille déja mal a l'aise. Ils se retrouvaient a quelques centimètres l'un de l'autre , Bella se sentit submergé de la même émotion que la première fois qu'elle avait vu Edward, un émotion qu'elle n'avait jamais éprouvé avant, et qui lui fesait bizarement plaisir de ressentire. l'homme sentait bon , très bon. Il s'excusa et lui afirma que l'étalon devenait jaloux. La jeune fille, elle, aurait voulut que se momment dure des heures et non pas quelques secondes, des secondes qu'elle avait apprécier même si elle ne le lui montra pas. Il lui demanda où elle voulait aller, elle aurait voulu lui repondre dans tes bras mais s'en retint en se mordant la lèvre inferieure. Où voulait elle aller ? chez elle, elle voulait retourner chez elle en Arizona avec sa famille. Qu'allait-elle repondre ? on ne fesait jamais attention a se qu'elle voulait faire et sa lui convenait très bien! Elle n'aimait pas qu'on s'interresse a elle alors cette question,où voulait elle aller...Bella se ressaisit, se rendant compte qu'elle n'avait toujours rien dit, plongée dans ses pensées et dans les yeux du bel homme devant elle.

murmura t-elle

La jeune femme voulait alait dans l'appartement qu'on lui avait réservé et s'y enfermer a double tour, y rester seul et repensar au choses qui venait de se passer .

Les branches craquent, le vent souffle mais le soleil rayonne et les oiseaux chantent. Ça sent la fin de l'hiver. Oui, enfin. On va pouvoir remettre les chevaux au près, les observer brouter, galoper et autre. Ça va faire du bien à tout le monde. Mais bon, le temps ou il fait plus de trente cinq degré n'est pas encore arrivé alors, patience. Edward regardait toujours Bella. Elle était jolie avec son teint blanchâtre. Mais, arrêtons de rêver et revenons à la réalité. Nous avons, d'un côté, Edward qui attendait patiemment la réponse de Bella et ensuite, nous avons, Storm qui avait envie de galoper. La jeune fille répondit. Elle désirait aller dans son appartement. Le problème c'est qu'il ne pouvait pas l'accompagner. Non, avec Storm cela révélait de l'impossible. Alors, il sourit à la jeune demoiselle et il lui dit :

« Je suis sincèrement désolé mais je ne peux absolument pas t'accompagner. Ta chambre, tu la trouveras facilement car ton nom est gravé sur une plaque. J'espère que tu ne m'en veux pas. On se reverra de toute façon ... »

Oui, il comptait bien la revoir cette jeune fille là. Alors, il lui sourit et éloigna le cheval pour qu'elle puisse passer.

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